Informations

Psychology

Je n'ai plus peur de rien. Extérieurement, je suis une personne de confiance. Confiance, ce mot vient souvent dans ces textes. Oui, je bouffe votre confiance, vous me l'offrez si gentiment. Vos yeux s'arrêtent sur ma poitrine et se ferment sur les trahisons derrière un sourire enjôleur. Tsss... La vie est un jeu. Un jeu ou je suis maître. Sûre de moi, je ne laisse pas de place à l'échec. Je sais, je sais que je peux aller à côté des puissants à coup de clins d'oeil et autres mensonges. Me rapprocher d'eux, pour au dernier moment, faire tomber leur tête. Je sais, c'est mesquin. Mais, qui êtes vous pour me le dire ? Au fond, je ne suis dans aucun camp. Et je n'aurais aucun remord à abandonner mon clan, si c'est pour assouvir ma vengeance. Car, c'est la vengeance qui m'anime. Ce désir de justice. J'ai souffert, vous allez mourir.

Appearance

Un beau corps, et elle le sait. Blonde/rousse, elle a de grands yeux bleus azur, lui venant de son père. La mutation lui avait aiguisé les canines, donnant un air carnassier à ses sourires. Plutôt grande, sa silhouette fine se fond facilement dans l'ombre. Elle sait comment faire pour se mettre en valeur, et n'hésite pas. Etre bien vue par les gens est une règle de base si on veut gagner leur confiance. La confiance. Cette chose qu'on lui léguait si facilement. Tss... Quelle stupidité. Seul défaut, des cicatrices un peu partout. De longues balafres, signe d'une grande souffrance et d'un passé pus que douteux. Mais vous en saurez plus en la questionnant. A 18 ans, elle peut facilement en paraître 25 avec un peu de maquillage. Pratique n'est-ce pas ?

Storyline

Je e suis enfuie. Je n'aime pas être contrôlée. Or, j'étais en cage. J'étais comme un oiseau enfermé, dans une minuscule cellule. Malheureuse. J'avais pour seul outil de consolation n bout de verre, d'une fenêtre brisée. je ne sais plus comment je me suis retrouvée là. Je ne me souviens plus pourquoi je suis ici. Mais ce qui est sur, c'est qu'on m'a fait oublier, à coup de saloperies. Et que mon sang sur le carrelage de pierre n'avait pas l'air de particulièrement les enchanter, ces gens en blouse blanche qui me faisaient passer à longueur de journée une série de tests douloureux. je ne compte plus le nombre de fois ou j'ai essayé de m'échapper, par une porte laissée ouverte. Seulement, on m'avait toujours rattrapée. Je n'aimais pas cet endroit. Derrière cette odeur d'anesthésiant, on sentait la mort à plein nez. Elle nous attend, au détour d'un couloir, derrière le mur du fond, ou encore dans cette pièce blanche ou l'on m'injectait d'étranges substance dans les veines. Souvent, je hurlais. La douleur était forte, le désespoir encore plus. C'est pour ça, que je tenais tant à ce bout de verre. Il était bien caché, das un recoin de la pièce mal éclairée qui me servait de lieu de vie. Une simple entaille suffisait, pour faire couler le sang, sang qui me servait à me raccrocher à la réalité. J'aurais pu appuyer plus fort. J'aurais pu. Mais je ne l'ai pas fait. Pourquoi ? Parce que. Parce que je ne sais pas. Peut-être que j'avais encore un espoir. Mais je ne sais plus lequel. m'enfin bref, un jour, j'ai enfin pu partir. J'ai pu m'enfuir, en courant. Une porte ouverte, des yeux fermés. J'ai fuis, vers la ville, là-bas, j'ai rejoins les résistants. Mais je ne suis dans aucun camp. Solitaire, je ma bats contre tout et tout le monde. Méfiez vous de moi, si je vous en donne l'occasion. après tout, mon jolis airs vous poussent à m'offrir aveuglément votre confiance. Trop tard pour faire marche arrière. Vous m'appartenez, tous.

Behind the screen